LE LANGAGE DES CARACTèRES

Le langage des caractères

Le langage des caractères

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Les reflets continuaient de danser sur la diamant immergée du temple englouti. Vincent observait les plateaux qui apparaissaient sur la surface liquide, désirable de comprendre leur signification. Certaines effigie semblaient humaines, mais floues, par exemple si elles appartenaient à un autre temps. D’autres, plus abstraites, se confondaient avec l’ombre des fréquents marins. Il savait que la voyance immédiate révélait de époques en temps des traces du passé ou du destin via des manifestations incroyables. Ces prédictions projetées sur l’eau n’étaient pas des illusions. Elles racontaient un passif, mais il lui manquait encore la signification pour en assimiler le significations. Il contourna la porte monumentale, recherchant un gage sur les parois du temple. Des inscriptions recouvraient la gemme, certaines effacées par le temps, d’autres encore nettes nonobstant le temps derrière nous par-dessous l’eau. Elles représentaient des spirales et des silhouette entrelacées, mentionnant un groupe en indéfectible mouvement. La voyance expliquait que certaines personnes allégories étaient des marqueurs temporels, des signatures laissées pour ce qui sauraient les piger. Ce temple n’était pas un désinvolte vestige submergé, il semblait incomparablement actif, conservant en lui une histoire ancienne qu’il tentait de révéler via ces dessins fugitives. Vincent porta son regard sur la porte elle-même. Sa surface était lisse, presque intacte, mais une fine date semblait dévier des gravures. Il passa une doigt au-dessus, et à cet instant, un récent éventaire apparut sur l’eau. Cette fois, ce n’étaient plus des silhouettes indistinctes, mais des tribunes précises : des individus en procession amenées à cette même porte, tenant des artefacts qu’il ne reconnaissait pas. La voyance immédiate téléphone enseignait que quelques voyances ne se dévoilaient qu’au moment propice où elles étaient appelées à sembler perçues. Ces images n’étaient pas des souvenirs passifs, elles attendaient d’être déchiffrées. Puis, des éléments changea. L’eau se troubla légèrement, et les reflets s’effacèrent un à un, comme par exemple si le temple retirait ses énigmes à technique poétique que Vincent s’en approchait. Il savait qu’il n’avait qu’un époques limité pour saisir ce que ces images tentaient de lui montrer. La voyance immédiate au téléphone expliquait que les matérialités les plus intimes n’étaient jamais livrées d’un unique coup. Vincent en était assuré à l'instant : cette porte n’était pas fermée par un riche mécanisme. Elle répondait à une déduction différente, une connexion inapparent entre l’espace et les siècles. Et s’il voulait la franchir, il devait d’abord affirmer qu’il était en capacité d’écouter ce que le temple désirait lui dire.

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